« La retraite, elle est à nous ; on s’est battus pour la gagner, on se battra pour la garder ! Ni amendable, ni négociable ! Abrogation de la réforme des retraites ! La Sécu, elle est à nous ! On s’est battus pour la gagner et on se battra pour la garder ! »
Plus de 2 000 camarades, venus de toute la France, ont exprimé avec force leur détermination à gagner l’abrogation de la réforme des retraites à l’occasion du meeting confédéral ce samedi 26 octobre à la Maison de la Mutualité à Paris.
Le SNUDI FO 44 était présent aux côté des camarades de l’UD FO de Loire-Atllantique.
Non aux 60 milliards d’économies ! A bas le budget Barnier ! Augmentation des salaires !
Annulation des 4 000 suppressions de postes dans l’Éducation nationale !
Dans un contexte particulièrement explosif, où le gouvernement Macron-Barnier s’apprête à saccager nos services publics, la Sécurité sociale, nos salaires et nos statuts à travers un budget d’austérité d’une brutalité inouïe, plus que jamais : passons à l’offensive !
Minoritaire et isolé, ce gouvernement en sursis cherche des soutiens pour poursuivre sa politique de casse sociale : qu’il ne compte pas sur Force Ouvrière pour lui venir en aide ! Comme l’a rappelé notre secrétaire général en introduction : « l’abrogation de la réforme des retraites est à portée de main ! »
Discutons en assemblées générales, dans l’unité la plus large, de l’action déterminée pour gagner !
Nous allons donc continuer à mettre en œuvre le mandat du CCN : “Pour obtenir satisfaction sur notre cahier de revendications, en particulier l’abrogation de la réforme des retraites et l’augmentation des salaires, le CCN décide d’engager une campagne de mobilisation (assemblée de syndiqués, réunions publiques et meetings locaux, distributions de tracts, collages, etc.) (…). Parallèlement, le CCN mandate le Secrétaire général et le bureau confédéral pour proposer aux autres organisations syndicales l’action commune afin d’obtenir par la mobilisation – y compris par la grève – l’abrogation de la réforme des retraites.”
Dans l’Éducation nationale, constatant que la ministre Genetet refuse de répondre à nos revendications suite à l’alerte sociale unitaire déposée le 13 octobre, la FNEC FP-FO s’est adressée aux autres fédérations pour leur proposer de maintenir le préavis de grève (à compter du lundi 4 novembre 2024 jusqu’au lundi 31 mars 2025 inclus) et d’organiser ensemble les mobilisations nécessaires.